Désolé, mais je reviens sur l'identification de celle-ci...
Il me semble que "j'ai extrapolé un peu trop" l'absence d'une épine sur le
basitarse médian, d'où ces photos complémentaires qui suivaient la 1ère :
Jean-Sébastien Carteron : France : Saint-Pardoux-Morterolles : 23400 : 02/08/2020
Altitude : 603 m - Taille : 10 à 12 mm environ
Réf. : 270217
Sur celle-ci, on devine une petite pointe sortant du pelage. En revoyant l'aspect "des épines du
tarse" de soroeensis, il y a une différence nette d'avec celles-ci qui sont uniques et massives. Celles de soroeensis, quand on les voit bien, sont multiples et fines. C'est le manque de définition/netteté qui les fait apparaitre d'un seul tenant parfois.
Jean-Sébastien Carteron : France : Saint-Pardoux-Morterolles : 23400 : 02/08/2020
Altitude : 603 m - Taille : 10 à 12 mm environ
Réf. : 270218
B. rupestris, B. pomorum, B. sylvarum, B. ruderarius…
Sur cette vue, on arrive à voir, à l'agrandissement optimal, l'espace malaire défini par un trait fin et net de l'articulation. En extrapolant toujours un peu, pour moi, l'espace malaire est égal à l'espace entre les deux condyles de la mandibule. Cela élimine würflenii qui apparait toujours en début de clé...
D'après le Mémo de Gilles MAHE, il resterait : B. rupestris, B. pomorum, B. sylvarum, B. ruderarius… Parmi lesquels, on peut éliminer B. rupestris qui est un Psithyrus.
J'éliminerais aussi B. sylvarum car j'ai une vue vers le S6 qui me montre qu'il ne s'agit pas de lui.
Pour différentier pomorum et ruderarius, il faudrait justement savoir si l'espace malaire est deux fois plus long que l'espace entre les deux condyles de la mandibule (pomorum) ou moins de 2 fois plus long que l'espace entre les deux condyles de la mandibule (ruderarius).
Qu'en pensez-vous ? Me suivez-vous sur cette nouvelle pente ?