@ François: est-ce que tu as utilisé une clé d'identification? En principe si les caractères collent bien avec cruciger, ça devrait être assez clair. Pour les Epeolus, il faut absolument essayer de bosser sur les femelles qui sont nettement plus faciles à identifier que les mâles. Il faut aussi faire gaffe au polymorphisme intraspécifique, notamment au niveau de la coloration de la cuticule sur les fémurs arrière, des axilles thoraciques, des tubercules du mesonotum, etc. Il n'y a pas de clé pour les mâles qui se base sur les genitalia donc on peut difficilement se prononcer sur base de tes photos (d'où l'absence de commentaire)! Et les hôtes semblent être plus variables qu'on le pensait jusqu'ici ... donc prudence à ce niveau-là également.
@ David: pour ta question de julliani & intermedius, ce sont des bestioles très très orangées et claires qui n'ont rien à voir avec le look sombre des cruciger/variegatus. J'ai fait des photos des deux sexes de julliani et intermedius, mais il me manque encore des infos et des photos de bestioles comme
E. alpinus Friese, 1893
E. fasciatus Friese, 1895
E. tristis Smith, 1854
E. schummeli Schilling
J'espère avoir l'occasion de voir ces dernières à Zürich dans la collection cet automne pour continuer la clé des femelles.