[Piogaster sp. F] Belle aux yeux bleus et grosses paluches

Guêpes, abeilles, fourmis... ces insectes qu'ils soient solitaires ou sociaux sont toujours autant sources d'observations...

Animateurs : lauzette, baudric

Rapha1
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Belle aux yeux bleus et grosses paluches

Message par Rapha1 »

Ce qui est étonnant , c'est cette coloration globale brune sur une photo et bleuté sur l'autre (ça donne la même impression sur les photos de PierreD)...et puis ce blanchissement de l'oeil : maladie ou caractère génétique ?

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Trana
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Belle aux yeux bleus et grosses paluches

Message par Trana »

Pour te répondre, Rapha1, voici quelques indications techniques.
La séance de photos a duré un peu plus de 2 h 30 minutes.
L'insecte était sur un rosier sur lequel arrivait tout d'abord une lumière un peu tamisée par un tilleul au feuillage bougeant (photo du haut, 14h09 ; 2500 ISO, 1/500ème, f:10).
Puis le soleil a tourné autour de l'angle de ma maison et le rosier s'est retrouvé à l'ombre (photo du bas, 16h21 ; 5000 ISO, 1/200ème, f:6,3).
Aucune utilisation du flash (j'ai hésité, mais m'en suis abstenu pour ne pas faire partir l'insecte, la rencontre était trop rare !
Dans les deux cas, l'insecte n'occupait qu'une très faible partie du cliché et j'ai du procéder à un fort grossissement.
La teinte est certainement plus exacte sur la photo du haut (dans les bruns) que sur celle du bas (virant au bleu en raison de l'ombre).

La couleur de l'oeil est sans doute délavée en raison de cette ombre et de l'utilisation d'une sensibilité élevée.
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Sarcophage77
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Message par Sarcophage77 »

Rapha1 a écrit : lundi 12 novembre 2018, 12:07 et puis ce blanchissement de l'oeil : maladie ou caractère génétique ?
Vu ceux qu'on a en galerie, il semble que ce look de zombie soit héréditaire.
https://www.galerie-insecte.org/galerie ... =Piogaster

L'ami Rhynchobanchus ne nous a pas dis comment différentier les deux espèces françaises.
" La fleur du bouquet fannnnnnnnnnne, et jamais ne renaît ! "
" sanctis recorda sanctis deus rex"

Ego te, puer curiosus!
Trana
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Message par Trana »

Moi, ze le sais, mais ze vous le dirai pas ... du moins maintenant, cela fera partie de l'étude détaillée que je vous prépare ...
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pierred
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Belle aux yeux bleus et grosses paluches

Message par pierred »

Ah, dis-nous tout, tonton Trana !!
Pierre D.
Trana
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Belle aux yeux bleus et grosses paluches

Message par Trana »

L'utilisation de la tirade de la fillette de la pub de Télé Z était une boutade. :)

Je comprends que vous êtes plusieurs, dont surtout toi, PierreD, à découvrir où je vais.
Toutefois, je n'ai pas encore terminé ma quête de documents (écrits ou photographiques) et je m'en voudrais de vous délivrer des idées qui n'en sont encore qu'à l'état de suppositions, non étayées. La démarche ne serait pas très sérieuse, et en cas d'erreur de ma part, je me sentirais complètement disqualifié.
Attendons donc encore un peu ...
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pierred
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Message par pierred »

Ne t'expose pas. Il existe des personnes en embuscade, certainement.
Pierre D.
Trana
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Message par Trana »

pierred a écrit : mardi 13 novembre 2018, 21:05 Ne t'expose pas. Il existe des personnes en embuscade, certainement.
Heureusement, ce n'est pas le cas sur notre forum.
Non, je suis assez grand pour me sentir disqualifié motu proprio si j'ai dit une très grosse connerie ! ...
Trana
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[Piogaster sp. F] Belle aux yeux bleus et grosses paluches

Message par Trana »

Bonjour,

le moment me semble venu de continuer ce sujet. J’attendais vainement du nouveau, mais rien ne s’est passé à l’international.

Outre ses particularités éthologiques (parasitisme des Salticidae) et physiques (yeux le plus souvent clairs, aspect de mouche, pattes paraissant munies d'un "exo-squelette"), le genre Piogaster (Pimplinae) est caractérisé par une documentation très parcimonieuse (c'est une litote !). Les articles de PERKINS et d'AUBERT décrivant les espèces sont difficiles d'accès (je vous passe les détails). Quant aux photos des espèces du genre, il ne doit guère y en avoir plus d'une demi-douzaine (pour l'ensemble des 7 espèces connues) ; on ne trouve en particulier aucune photo de P. punctulata !

Pour rappel, les 7 espèces connues actuellement sont :
P. albina (Perkins, 1958) Europe
P. pilosator (Aubert, 1958) France, Autriche, Russie occ., Suède, Finlande, Bulgarie
P. punctulata (Perkins, 1958) Angleterre seulement (selon INPN)
P. lucida (Constantineanu, 1969) Roumanie seulement. [Mention "incertae sedis" trouvée quelque part, impossible de remettre la main dessus]
P. maculata (Henry Keith TOWNES, Jr, 1960) Etats-Unis
P. ussuriensis (Kasparyan, 2007) Russie Est (Vladivostok)
P. daizetsuzana (Kusigemati, 1985) Japon
Je ne serais pas surpris qu'on découvre un jour une ou plusieurs autres espèces en Asie ou en Afrique, car le genre n'a été décrit qu'en 1958 et les insectes sont très discrets.

Photo 2 : pour rappel visuel
Image
Bernard Mallet : France : Eaubonne : 95600 : 10/09/2018
Altitude : 50 m - Taille : 7-8 mm
Réf. : 228581

Photo 3
Image
Bernard Mallet : France : Eaubonne : 95600 : 10/09/2018
Altitude : 50 m - Taille : 7-8 mm
Réf. : 228596

Photo 4 : vue du dessus
Image
Bernard Mallet : France : Eaubonne : 95600 : 10/09/2018
Altitude : 50 m - Taille : 7-8 mm
Réf. : 228599

Pour déterminer l'espèce de mon insecte, je n'ai pas voulu suivre l'indication donnée par Rynchobanchus pour les photos de PierreD, préférant partir de zéro. Je souligne que ceci n'est pas une attaque ad hominem !

Sur les 7 espèces connues, j'omets (in)volontairement P. ussuriensis, dont la description est en cyrillique et dont je n'arrive pas à trouver de photos. Le risque de me tromper est certainement très faible.

L'espèce japonaise P. daizetsuzana, dont j'ai lu la description et vu une seule photo, a des yeux sombres sur une tête claire, des trochanters jaune pâle à brun jaunâtre, le mesoscutum sombre, avec deux paires de bandes jaune pâle –brun jaunâtre clair, la paire latérale courte, présente sur la portion médiane. Ces quelques caractéristiques permettent de l'éliminer.

L'espèce américaine P. maculata est facilement reconnaissable à ses pattes 3 maculées (taches sur le fémur et le tibia, voir la figure 323k p. 619 dans la description de TOWNES) et peut de même être éliminée.

L'espèce roumaine P. lucidus décrite par CONSTANTINEANU a le corps noir, lisse et luisant. Son ovipositeur est jaune, avec la gaine brune. Le nom a ensuite été féminisé. Un corps lisse et brillant permet d'éliminer cette espèce.

A ce stade, il ne reste que les trois espèces les plus fréquentes (façon de parler, car ces insectes sont assez rares ou rarement observés !) : P. albina, P. pilosator et P. punctulata.

PERKINS décrit le genre Piogaster en décembre 1958 et lui donne comme espèce type P. rugosa sp. nov. Il définit ensuite, dans la même publication, trois espèces :
P. albina sp. nov, (holotype : femelle venant d'Allemagne, de la Collection Ruthe, sans aucune date, identifiée dans cette collection comme Pol. albinus) [Johann Friedrich RUTHE, 1788-1859],
P. punctulata sp. nov. (holotype : femelle prélevée dans le Surrey, Angleterre, le 11 juin 1952)
et P. rugosa sp. nov. (holotype : femelle prélevée en Scanie, Suède, le 15 juillet 1949).

A la même époque (décembre 1958), Jacques-François AUBERT décrit une nouvelle espèce dont il a capturé deux femelles dans les Alpes-Maritimes, les 27 août 1956 et 9 août 1958. Averti du travail de PERKINS sur un nouveau genre, il se contente de décrire l'espèce et la nomme provisoirement Polysphincta pilosator sp. nov. Il s'avérera que cette nouvelle espèce et P. rugosa sp. nov ne font qu'une, qui prendra le nom de P. pilosator.

Grâce à l'obligeance du laboratoire d'Entomologie du MNHN, j'ai pu voir les spécimens des trois espèces de Piogaster qu’il détient. Par ailleurs, le Conservateur des insectes du Museum de Londres (NHM) a bien voulu me communiquer des photos de P. albina (qui sont maintenant disponibles sur le Natural History Museum's Data Portal http://data.nhm.ac.uk voir les photos

Revue de P. pilosator
Selon AUBERT, le corps est entièrement mat, recouvert d'une pilosité raide argentée, la tête et le thorax sont rouges, le centre du visage, les joues et le clypeus jaunâtres, l'abdomen brun, les antennes brunes avec scapes noirs, les articles basilaires jaunes en dessous, les hanches postérieures rouges, la gaine de la tarière blanchâtre avec tache apicale brune.
Selon PERKINS, la totalité de la tête et le mesoscutum sont densément poilus ("closely hairy"), le mesopleure plutôt poilu, les flagellomères basilaires blanchâtres en dessous, la tête et le thorax sont rouges, les poils du mesoscutum sont en partie sales, tandis qu'ils sont argentés sur le reste du corps. Les coxae sont sombres, blanches à l'apex, les coxae 2 et 3 étant marquées de rouge sur la face postérieure, à la base ; les trochanters sont noirs, blancs latéralement et à l'apex. Le gastre a les tergites noirs, blanchâtres latéralement, les tergites 2 et 3 quelque peu blanchâtres apicalement vers le centre. La gaine est blanchâtre sauf pour l'apex.

Deux bonnes photos venues de Suède : https://www.flickr.com/photos/159566335@N04/24029998727 (Nils-Uno Svensson, 19 juin 2017) et surtout : https://www.flickr.com/photos/146668414 ... Sfj-wXHBcj (Kjell Nilsson, 9 juin 2016).

Le spécimen du MNHN provient de la Collection J. PEREZ et date de 1915. C'est une femelle, dont l'aspect correspond assez bien à la description, mais qui a des antennes claires (fauves) avec scapes clairs, en légère différence d'avec la description d'AUBERT. Sa pilosité est beaucoup plus fournie que celle des photos suédoises. La gaine m'a parue sombre, mais peut-être ai-je regardé trop hâtivement ce qui aurait été en fait l'ovipositeur dégainé ?

Conclusion :
les couleurs de corps et de gaine de mon insecte ne correspondent pas à cette espèce (photos de Suède, exemplaire du MNHN, descriptions d'AUBERT et de PERKINS).


Revue de P. albina
PERKINS a fait la description de cette espèce en se basant sur deux spécimens femelles : l'holotype provenait d'Allemagne, collecté sans au milieu du XIXe siècle, tandis que le paratype a été collecté en août 1911 dans le Norfolk (Angleterre).
PERKINS précise dans sa description (entre autres) que la tête entière est couverte de poils abondants, le mesoscutum de poils clairsemés, le scutellum de poils plus longs, tout comme mesopleuron et mesosternum, le propodeum fortement poilu. Le pédicelle et les 4 segments flagellaires basilaires sont d'un jaune brunâtre pâle, les segments suivants pâles en dessous. Les trochanters sont étroitement blancs à l'apex. Le gastre est noir brunâtre. La gaine présente une bande sub-basale blanche sur l'holotype.
Fort curieusement, beaucoup de descriptions de couleurs de parties anatomiques sont absentes pour cette espèce, alors que PERKINS en mentionne pour les deux autres. On a l'impression qu'une partie de son manuscrit n'a pas été imprimée !

Une remarque en passant : l'holotype de Londres porte un nom surprenant (albina), alors que l'insecte est relativement sombre et non clair. On se demande pourquoi PERKINS l'a ainsi dénommé. Peut-être en référence à Albion, mais c'est oublier que l'insecte avait été capturé en Allemagne !

Comme dit supra, deux photos de la femelle holotype de P. albina sont maintenant disponibles sur le Natural History Museum's Data Portal http://data.nhm.ac.uk voir les photos.

Le spécimen du MNHN (EY51) est une femelle assez petite (environ 4,2 mm selon moi) qui a été capturée sur des branches mortes à la Faculté des Sciences d'Orléans (Loiret), en juin 1991. Sa détermination a été faite par Q. ROME (du MNHN).

Si les deux spécimens de Londres et Paris ont des antennes semblables, de couleur fauve et plus sombres à partir de la moitié, mon avis est que c'est bien tout ce qui les rapproche.

La femelle de Londres, certainement en conformité avec la description de PERKINS (puisqu'il l'a décrite comme holotype !), a une faible pilosité, la tête rouge-brun sombre, le thorax rouge-brun noirâtre et les coxae et le gastre rouge brique sombre.

La femelle du MNHN présente quant à elle une pilosité plus prononcée, et a un aspect très clair, disons fauve. Sa tête est orange-rouge.

Conclusion :
mon insecte semble par trop différent de l'holotype, notamment en raison de son aspect très sombre (tant le gastre que les coxae 2 et 3) et de sa pilosité dense, et il ne semble donc pas qu'on puisse l'assimiler à P. albina.


Revue de P. punctulata
Le spécimen holotype du NHM, une femelle, a été communiqué en prêt et n'est donc pas accessible pour le moment. J’ai en vain attendu ce retour, et me résous en conséquence à poursuivre ce sujet. Je suis donc obligé de me fier à la seule description que j'en ai, c'est-à-dire à la publication de PERKINS (1958), pages 264-265 (fig. 5)-266.

Selon cette description, la pilosité de l’espèce est assez forte. Le mesoscutum est densément poilu (« closely hairy »). PERKINS examine abondamment la rugosité et les stries de parties diverses (invisibles sur mon specimen car couvertes par les poils). « Mesosternum more closely punctate and hairy than the mesopleurum ; scutellum punctate and hairy ; propodeum rugose-punctate, strongly hairy ; metapleurum punctate ».
Il ajoute que le tergite 1 est ponctué à la base, particulièrement sur les côtés et avec une crête (« keel ») latérale distincte, postspiraculaire.

Pour ce qui est des couleurs, PERKINS précise que les flagellomères de la base sont blanchâtres en dessous ; les coxae sont faiblement marquées de blanc apicalement, les trochanters blancs latéralement ; le thorax marqué de rouge, sur le mesoscutum (vers l’avant, les côtés et à l’apex), sur les côtés du pronotum et à l’avant du mesopleurum ; l’abdomen est brun-noir (« piceous ») ; la valvule 3 entièrement brun-noir.

Le spécimen du MNHN est un mâle capturé dans la Vallée du Fango (Corse) entre 25 V et 3 VI 1997 par C. VILLEMANT. L= approx. 5,8 mm. Ses pattes sont assez claires, et n’ont pas la bande sombre caractéristique sur le dessus ; mais peut-être est-ce dû au fait qu’il s’agit d’un mâle ?

Mon exemplaire du Val d’Oise présente une pilosité plus marquée que sur les deux insectes du NHM et du MNHN. Par ailleurs, ses coxae et trochanters ne présentent pas les zones blanches signalées sur la description de PERKINS, que l’on voit aussi sur l’exemplaire du MNHN. La coloration des pattes semble également bien différente.

Conclusion :
En raison de l’indisponibilité de l’holotype du NHM, parti en grandes vacances à l’étranger, et du fait que l’exemplaire de Paris est un mâle, je ne peux affirmer que mon spécimen est bien P. punctulata. Ni d’ailleurs qu’il ne l’est pas.
Toutefois, trop d’éléments me laissent penser qu’il ne l’est pas. Dans ce cas, il s’agirait d’une nouvelle espèce non encore décrite.



Conclusion générale :
En conséquence, il est prudent, à ce stade, et en attendant soit le retour au NHM de l’holotype prêté, soit la capture d’un nouvel insecte en Ile-de-France, d’identifier mon spécimen et ceux de PierreD comme Piogaster sp.

Un peu d'aspirine ? :lol:



Edit du 28 avril 2019 : correction de deux liens NHM défectueux


Bibliographie :
Perkins J.F. (1958) A new genus and three new species of Polysphinctini from Europe (Hym., Ichneumonidae). Entomologist 91 263-267.

Aubert J.F. (1958) Ichneumonide Pimpline d'un genre nouveau, espèce nouvelle, répandue sur le rivage méditerranéen. Bulletin de la Société Entomologique de Mulhouse 1958 79-80. [tome 14]


P. maculata

Townes, H.K.; Townes, M.; Walley, G.S.; Townes, G. (1960) Ichneumon-flies of American north of Mexico: 2 Subfamily Ephialtinae, Xoridinae, Acaenitinae., United States National Museum Bulletin. 216(2):1-676.
La description du genre et de P. maculata se trouve en pages 241-242. Le genre est décrit en p.241 avec fig. 295a en page 591. P. maculata est décrit en pp. 241-242, avec fig. 323k en p. 619.

P. ussuriensis

Kasparyan, D.R.; Khalaim, A.I. (2007) Pimplinae, Tryphoninae, Eucerotinae, Xoridinae, Agriotypinae, Lycorininae, Neorhacodinae, Ctenopelmatinae, Phrudinae, Ophioninae, Acaenitinae, Collyriinae, Mesochorinae. (in Russian), In: A.S. Lelej (ed.) 'Key to the insects of Russia Far East. Vol.IV. Neuropteroidea, Mecoptera, Hymenoptera. Pt 5.' Vladivostok: Dalnauka. 1052 pp. pp.279-410, 418-423, 428-430, 474-559, 562-565, 632-637, 667-680.

P. daizetsuzana
Kanetosi KUSIGEMATI, 1985 - A New Species of the Genus Piogaster] PERKINS from Japan (Hymenoptera, Ichneumonidae) Kontyû,Tokyo, 53 (4):583-586 December 25, 1985
KUSIGEMATI dit que l'espèce est assez proche (mais distincte) de P. rugosa de PERKINS [donc de P. pilosator].

P. lucida

Constantineanu, M.I.; Constantineanu, R.M. 1969. Ichneumonides nouveaux dans la faune de la Roumanie. Revue Roumaine de Biologie Serie de Zoologie. 14, n°3 :173-179. La description de P. lucidus se trouve en pp. 173-175.
Modifié en dernier par Trana le dimanche 28 avril 2019, 17:52, modifié 3 fois.
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pierred
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[Piogaster sp. F] Belle aux yeux bleus et grosses paluches

Message par pierred »

Eh bien, bravo pour le boulot !!
Pierre D.

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