Effectivement, ce n'est pas phoebe, qui n'a pas un réseau de lignes noires aussi développé sous les AP, en particulier avec seulement des taches noires à leur base et non des traits continus.
Là, c'est le groupe des espèce où c'est plus simple avec les genitalia (l'ancien sous-genre Mellicta). Pas facile après, je lui trouve à la fois un aspect de parthenoides et d'helvetica (ancien athalia celadusa).
Le Paon du jour n'est dans aucune citation célèbre.
Axel :)
Ce qui me gêne sur cet individu, c'est la forte brisure de la bande postdiscale de l'avers des antérieures (d'ordinaire bien régulière chez varia et parthenoides).
D'autre part, est-ce que, comme pour athalia/helvetica, le renforcement noir de l'espace 2 du revers des postérieures peut-être de mise chez varia ?
"Le papillon : ce billet doux plié en deux cherche une adresse de fleur." Jules Renard, "Histoires naturelles"
parthenoides -> plusieurs trucs ne collent pas sur l'AA : dessins submarginaux des espaces 2 et 3, dessins discaux de l'espace 1b + le tracé de la ligne postdiscale est effectivement suspect.
varia -> les mêmes problèmes + bande discale du dessous de l'AP pas vraiment blanche + ce serait une donnée très "basse".
aurelia -> dessins probablement trop irréguliers, et ce serait une donnée tardive.
helvetica (ou quel que soit son nom) -> 100% compatible et c'est l'espèce la plus commune
MacMalice a écrit : samedi 11 mars 2017, 8:50Je n'ai jamais fait de regarder les genitalia. C'est compliqué pour un novice? Lafranchis explique comment faire mais ...
C'est galère la première fois, mais ça vaut la peine d'essayer.
N'étant convaincu ni par parthenoides, ni par varia, (ni par aurelia, que j'avais oubliée), je vote aussi pour la Suisse (sans certitude, bien évidemment) !
"Le papillon : ce billet doux plié en deux cherche une adresse de fleur." Jules Renard, "Histoires naturelles"