[Hypena obsitalis] Hypena obsitalis

[Jules]

Bonsoir,
Aprés la vague de mistral, le temps s'étant radouci, j'ai placé des pièges à sucre pour les papillons nocturnes ce soir, pour voir.
Contre toute attente un Hypena obsitalis y est venu. C'est la 2ème fois que je capture cette espèce. La 1ère fois c'était en Camargue, le 29 Janvier 2002. Comme je capture surtout à la luimière je pose les questions suivantes à ceux qui pourraient y répondre :
Cette espèce ne vient-elle qu'au sucre ?.
Pourquoi aucune capture hors de la période janvier Février ? .

[alastor]

Peux-tu donner plus de précisions sur le lieu de capture, cette indication peut-être utile à la rédaction de l'Atlas des Papillons de la région PACA que nous sommes en train de réaliser à l'OPIE-Provence
http://www.opie-provence.com > Compétences > Cartographie

Si tu le souhaites, tu peux également participer, il suffit de charger les fichiers proposés.
Mais peut-être connais-tu déjà Thierry Varenne, notre responsable pour les nocturnes ?

Tu peux également me contacter par MP (Message Privé, le bouton ci dessous).

[jeanphi_maurel]

Bonjour,

Peux-tu m'indiquer la recette de tes pièges à sucre et la manière dont tu t'en sert.

Jean-Philippe Maurel

[Jules]

Bonjour,
Mes pièges sont tout simples :
Je plante dans le sol des planches de bois(ou tout autre morceau de bois présentant des surfaces planes), et je les enduis au pinceau d'un mélange de confiture (fraise ou autre) et de rhum (cela saoule les papillons qui ne repartent pas).
C'est tout simple.
Personnellement, dans mon jardin (c'est là que je piège), je n'ai pas beaucoup de succès avec cette méthode. Mon collègue, qui fait pareil en Camargue, a plus de succès que moi.
Cordialement.

[alastor]

Jules
j'ai eu un message de Thiery Varenne, je te le livre

" Oui, c’est une donnée tout à fait plausible.
Tu peux lui dire que sa bestiole est un peu luciphile et qu’effectivement, elle vient mal à la lumière. On la trouve plus facilement à l’intérieur des maisons, à l’ombre, au repos. Elle vole d’août en juin (de l’année suivante) avec un maximum d’occurrence en automne et en hiver. Sa chenille se développe, dans notre région, sur Parietaria officinalis "