Pour photographier les "papillons de jour" (Rhopalocères), les deux périodes les plus propices sont l'aube et le crépuscule quand ces insectes ont regagné leurs dortoirs !
Mais il y a un petit inconvénient, c'est qu'à ces heures là, ils se reposent et on ne voit que la face inférieure des ailes ....
Pour la face supérieure, il faut les traquer pendant la journée et les nerfs sont parfois mis à rude épreuve !
Pour les "papillons de nuit" (Hétérocères), il faut intervenir la nuit lors d'un piège lumineux (sur un drap ou un mur --> photos peu esthétiques) ou une miellée sur un tronc d'arbre !
IL y a aussi une technique (souvent utilisée par les hétérocéristes) qui consiste à capturer vivantes les espèces non protégées et d'attendre qu'elles soient calmées par la fraîcheur de la nuit pour les "mettre en sitution" sur une plante et réaliser ainsi des clichés parfaits ..
Pour les autres catégories, je tâcherai de vous répondre plus tard ... ou ailleurs car nous sommes hors-sujet !
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
Avesido a écrit :Sinon y'a le con des con (tout le monde aura reconnu le bombyx du chêne) qui volent rapidement sans jamais s'arrêter à une certaine période de l'année. C'est un papillon pour les masos qui s'entrainent au filet.
entolomeJP : on aura tout vu
Tu es vraiment toxique, JP ??...
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
..... et si tu continues, tu trouveras ton lit vide !... .....
P.S. : nous creusons ensemble !
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.