En ce moment j'expérimente le piquage des petits coléos sur minutie puis sur des vouts d'émalène.
Le résultat n'est pas transcendant visuellement, mais en tout cas c'est très pratique!!
Stéphane
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{Techniques de collection} Coléos : ramollir/piquer/coller ?
Animateur : alastor
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Nico
- Membre confirmé
- Enregistré le : lundi 13 septembre 2004, 6:23
- Localisation : Lussant geles
souplesse souplesse
je crois qu'à l'heure actuelle, il y a une modification des habitudes des entomologistes. En fin de compte, qu'est-ce qui est le plus important dans une collection: l'étiquettage et l'insecte.
Que l'insecte soit piqué ou collé, le plus important c'est qu'il soit disponible à des fins scientifiques en cas de besoin et que ses données le soient aussi.
Dans tous les cas, pour les deux méthodes, il y a des avantages et des inconvéniants.
Quand j'étais à la fac, un de mes profs me disait que de toute manière un insecte devait être piqué les pattes rentrées sous le corps, les étiquettes écrites à l'encre de chine et il devait être accompagné d'un dessin détaillant les caractères spécifique à l'insecte. Qui le fait de façon conventionnel aujourd'hui?
Les pattes sont étalées, les étiquettes faites à l'ordinateur, et rares sont ceux qui font des dessins (passer à l'appareil numérique).
Personnelement, je l'ai colle tous sur transparent (y compris P. fullo par ex.), c'est un choix personnel en connaissance des inconvéniants. Toutefois si par chance je devais trouver LE coléoptère rare peut-être je le monterais de façon conventionnels. Mais dans tous les cas l'insecte est disponible ce qui est primordiale.
La méthode d'Abel bete (coller pour une série un insecte les 6 fers en l'air)) n'est pas une mauvaise idée non plus. Il faut remettre les choses en place: sur une série de 10 insectes pris au même endroit sur le même support, le même moment ayant les mêmes caractéristiques il y a peu de chance que cela soit des insectes différents (même si le doute subsiste bien sûr).
Nico
Que l'insecte soit piqué ou collé, le plus important c'est qu'il soit disponible à des fins scientifiques en cas de besoin et que ses données le soient aussi.
Dans tous les cas, pour les deux méthodes, il y a des avantages et des inconvéniants.
Quand j'étais à la fac, un de mes profs me disait que de toute manière un insecte devait être piqué les pattes rentrées sous le corps, les étiquettes écrites à l'encre de chine et il devait être accompagné d'un dessin détaillant les caractères spécifique à l'insecte. Qui le fait de façon conventionnel aujourd'hui?
Les pattes sont étalées, les étiquettes faites à l'ordinateur, et rares sont ceux qui font des dessins (passer à l'appareil numérique).
Personnelement, je l'ai colle tous sur transparent (y compris P. fullo par ex.), c'est un choix personnel en connaissance des inconvéniants. Toutefois si par chance je devais trouver LE coléoptère rare peut-être je le monterais de façon conventionnels. Mais dans tous les cas l'insecte est disponible ce qui est primordiale.
La méthode d'Abel bete (coller pour une série un insecte les 6 fers en l'air)) n'est pas une mauvaise idée non plus. Il faut remettre les choses en place: sur une série de 10 insectes pris au même endroit sur le même support, le même moment ayant les mêmes caractéristiques il y a peu de chance que cela soit des insectes différents (même si le doute subsiste bien sûr).
Nico
