Salut Pascal,
Le problème avec tous ces papillons, c'est que certaines espèces non pas une minuterie très précise. L'ensoleillement et la température ne sont pas des facteurs permettant des éclosions en dates précises.
D'ailleurs si c'était le cas, on pourrait dire que cette espèce "A. atlas" ne serait visible dans sont milieux naturel, qu'à un moment bien précis et de courte durée... Ce serait un drame je pense...?!
Mais ne connaissant pas sa biologie naturelle, on découvre par des élevages en captivité que celui peut être observé pendant plusieurs semaines. Ce qui doit forcement être le cas dans son milieu naturel.
Et comme ces derniers ne vivent pas très longtemps, on sait qu'après plus d'une semaine, c'est un autre individu qui vole.
Tu sais, peut être la nature fait bien les choses en fait...
On sait que cette espèce "et bien d'autres" dévoile un important écart d'éclosion, on sait aussi que les femelles voles ou se déplacent peu et pour les mâles les choses peuvent être bien différentes car ils sont plus actifs.
Et ben ces éclosions "Et ça c'est moi qui en déduit
" doivent sûrement se rendrent très utiles au problème de la consanguinité.
Car si tout se passe bien lors du développement d'un groupe de chenille provenant d'une même ponte et que celles ci se nymphoses à seulement quelques jours l'es unes des autres, et que en plus leurs minuteries de
diapause soit suffisamment précises pour donner naissance aux adultes avec quelques jours d'écart seulement, alors on aura forcement des accouplement dans la même famille, pouvant ainsi à plusieurs reprises les mener à leur perte... Mais bon ça reste une probabilité.
Maintenant grâce à la différence d'éclosion, si une femelle éclot et qu'un mâle voyageur venant de plus loin et d'une autre famille vient à retrouver celle ci, il pourra la féconder avant l'un des membres de la même famille que la dite femelle.
Cette différence pour des membres d'une même portée, pouvant ainsi dépasser la durée de vie des frères et soeurs, résumerait à dire que la nature ne veut pas qu'ils se croisent (S'accouplent).
Mais en fait la nature n'a rien voulu ou plutôt décidé... Si on regarde de plus prêt, c'est le résultat de la sélection naturel, et qui a fait en sorte que cette espèce ne disparaisse pas trop vite de ce monde grâce à ce hasard inconscient....
Quand pensez vous les ingénieurs ?
Enfin moi je me l’explique comme ça, maintenant s’il y a des gents ou scientifiques pour apporter une autre thèse, faites nous en part
Merci
Oui, hier soir vers minuit, l'un de mes "Attacus atlas" est née... Enfin ce n'était pas trop tôt 
