C'est bien lui...
Pour le voir dans son milieu, tu te munis d'un parapluie japonais, d'un gourdin, et tu frappes consciencieusement les branches, de chêne de préférence, dans les coins chauds genre prairies sèches (en Haute-Savoie du moins)
En général, parmi les glands et les Curculio, tu en vois. Bon, dans ces conditions, ils sont un peu affolés !
Pour l'anecdote, le première donnée départementale était sur le pare-brise de la voiture de mon directeur, la seconde dans les toilettes chez mes parents

(avant qu'on ne découvre dans une biblio discrète qu'elle avait été observée des années avant). Du coup, on avait un peu de mal à caractériser son habitat !

A vingt ans, je n'avais en tête que l'extermination des vieux; je persiste à la croire urgente mais j'y ajouterais maintenant celle des jeunes; avec l'âge on a une vision plus complète des choses (Cioran)