Serait-ce Pholidoptera griseoaptera ? Je ne crois pas en avoir jamais vu à l'état adulte chez moi mais ça ne prouve rien, évidemment (je n'avais jamais vu ni andrènes ni halictes avant l'été dernier ).
Modifié en dernier par lauzette le mercredi 27 juillet 2022, 9:23, modifié 1 fois.
Aime-toi, le ciel t’aimera Despise not the weak : the gnat stings the eyes of the lion.
Ou alors Yersinella raymondi ? Mais les juvéniles de cette espèce ont-elles les genoux foncés comme ça ?
Parce que j'en ai trouvé un, l'été dernier, dans mes dahlias.
Aime-toi, le ciel t’aimera Despise not the weak : the gnat stings the eyes of the lion.
Plutôt ta première hypothèse car le liseré du bord du pronotum est fin et tout le long. Chez Yersinella il est plus épais et moins net. La coloration générale est également plus mouchetée chez Y. raymondi
Effectivement, ça m'évoque pas mal griseoaptera. Quel est le biotope ? Plutôt humide ? Il me semble que ce n'est pas la bête la plus courante dans le sud, alors que dans le nord, on en voit partout où il fait un peu sombre (lisière de bois, clairières, jardins avec des arbres ou des buissons).
Le Paon du jour n'est dans aucune citation célèbre.
Axel :)
Je ne la vois que dans la partie basse de mon lopin càd près du ruisseau, sur les orties ou les hyèbles surmontées de grands saules, donc il y fait sombre et humide. Ce doit être pour ça que les adultes m'ont toujours échappé, d'ailleurs, c'est très fouillis dans cette partie-là (fouillis épais alors que le haut du terrain, type colline à orchidée, est fouillis lâche, sec et lumineux).
Aime-toi, le ciel t’aimera Despise not the weak : the gnat stings the eyes of the lion.
Le 31 ne veut rien dire en soi, c'est très diversifié, ça va du fin fond des Pyrénées au nord de Toulouse, en rasant l'Aude méditerranéenne... Et un vrai bazar climatique, avec influences atlantique, méditerranéenne et limite continentale.
Chez moi, il pleut environ 600 mm par an et à Revel, Montagne Noire, à une demi-heure d'ici, presque le double. Sur ma commune, il pleut souvent moins qu'à Toulouse mais nous avons des tas de sources et donc de ruisseaux au bord desquels il fait bon, sans compter le Canal du Midi et la Rigole, l'Hers... Rien que mon modeste lopin est très diversifié : très sec en haut, typiquement colline à orchidée argilo-calcaire, et le bas, au bord du ruisseau, est frais et humide, avec une différence de température nette, en particulier la nuit, qui se sent rien qu'en traversant le terrain de haut en bas ou inversement.
Je n'ai jamais observé ces juvéniles en haut, je ne les vois qu'en bas.
Aime-toi, le ciel t’aimera Despise not the weak : the gnat stings the eyes of the lion.