Je vous prie de me pardonner ma profonde incrédulité, mais je me dois de contester le slogan "il faut aller le chercher entre les cuisses des baigneuses", au nom de la vérité scientifique.
Les baigneuses, par définition, on ne les trouve que dans l'eau. Lorsqu'elles arrêtent de se baigner et qu'elles vont se sécher dans le sable, avec ou sans parasol, elles ne sont plus des baigneuses mais deviennent de simples occupantes de plage.
Or il n'existe qu'un seul coléoptère marin, qui vit sur un ilôt de La Réunion. Et il ne s'agit pas de ce braquetruc. Et comme il reste attaché sentimentalement à son rocher, que j'ai vu de mes yeux propres, je doute fortement qu'on puisse le trouver entre les cuisses des baigneuses du secteur (mais je dois reconnaître que je n'ai pas essayé
).
Le coléo (remarquable) objet de ce poste ne peut donc en aucun cas se trouver entre les cuisses de baigneuses, quelque accueillantes qu'elles puissent être, mais uniquement entre celles de simples occupantes de plage.
Cela n'enlève rien au mérite de ceux qui l'ont trouvé, même s'ils n'ont pas apporté les précisions attendues par tout un chacun sur les circonstances exactes de la capture
Prendre son courage à deux mains, c'est toujours plus facile, lorsqu'on est ambidextre.