SECQ Michel a écrit :En fait pour les Gnathoncus, il convient de ne pas se référer uniquement à l'édéage mâle, on trouvera aussi tout un ensemble
de caractères qui permettront de séparer les espèces par les élytres, le pygidium, le 8e urosternite, les denticules
sur la marge externe du tibia antérieur, la couleur... Le genre n'est pas facile, comme bien d'autres genres ! Il faut repartir sur de bonnes
bases, la révision d'AUZAT et le travail STOCKMANN, consulter les dernières espèces décritent par Marseul, Auzat, Stockmann.
Il n'y a pas de secret, la connaissance vient avec le travail et il y a de la doc pour s'y retrouver en Europe !
Bonsoir Michel,
Je suis tout a fait d'accord avec toi. Mais du point de vue d'un amateur non spécialisé dans une famille donnée, il est tout a fait étonnant qu'il soit si délicat de faire correspondre un
édéage avec une espèce alors même que le genre à été traité plusieurs fois dans la littérature et surtout de constater qu'une des références les plus récentes (celle de Yelamos) est en contradiction avec les autres.
Concernant le
punctator, et au risque d'être un peu lourd, je n'ai toujours pas compris comment un auteur (Reichardt) peut dans le même document de 1941 (Fauna URSS), parler d'un
G. punctator Reitter valide dans ce document (et toujours valide de nos jours) et décrire un
punctator nouveau dans la foulée (
punctator Reichardt 1941). A moins que la description de cette dernière espèce ne soit pas, malgré la date identique, dans ce document (je n'ai pas le document en question a part la figure du post) ?