[Ripiphorus subdipterus] après le macrosiagon camarguais...

[Cerdo]

sur Eryngium... intéressant...

je te confirme d'ailleurs qu'elle était en train de pondre dessus.

[Jul' de l'Opilo]

Je passe sur le forum pour me changer les idées (après maths physique, et chimie, j'en ai besoin). Très chouette bestiole.

Bonsoir, un petit plaisir de ma journée de chasse, la 3ème espèce de ripi de ma collec

.
Quels sont les autres ripi que tu as trouvés ?

[DG.]

Bon Julien, maitenant celà suffit, va bosser tes leçons

[Jul' de l'Opilo]

C'est fait ! Alors, DG, ai-je le droit maintenant de réitérer ma question au longi ?

[Cerdo]

pour mon premier, le titre et la fonction rechercher devraient t'aider à le trouver.
je dois mon second à un aimable collègue belge (merci Crupu pour le sandwitch!!! j'adore la garniture Metoecus )

[Jul' de l'Opilo]

Merci Cerdo. Le titre de ton post m'avait de toute façon mis sur la voie, et j'ai trouvé sur le forum ton Macrosiagon. Il me manquait la troisième espèce. Bravo, ce sont de bonnes bêtes.

[FD.]

Est-ce vraiment une rareté cette espèce
car je suis allé prospecter en bord de Durance vendredi dernier et j'en ai capturé un exemplaire !

Merci de vos éclairages élytreux

FD.

[Jean-Ed de la Quenouille]

sur Eryngium... intéressant...

Il semblerait que de nombreuses espèces de cette famille aiment bien les Eryngium.
En Andalousie, j'en ai observé pas mal sur cette plante.

[Cerdo]

Est-ce vraiment une rareté cette espèce
car je suis allé prospecter en bord de Durance vendredi dernier et j'en ai capturé un exemplaire !

Merci de vos éclairages élytreux

FD.

Bonjour FD,
c'est le 2ème plus commun des Ripiphoridae, mais cela n'enlève pas le caractère remarquable de cette rencontre. beaucoup de coléoptéristes aimeraient le croiser au moins une fois!
En fait, on est pile poil dans la saison pour les voir, il semble que tous les ripi vivent à des effectifs bas.
pour avoir descendance, ils doivent trouver un partenaire sexuel, pondre sur un eryngium attractif pour les floricoles, que les triongulins éclos parviennent à grimper sur un halycte à six bandes avant de crever, qu'ils réussissent à parasiter les larves de la guèpe (endoparasite d'abord, puis ectoparasite sur la fin)... bref, beaucoup de contraintes, en partant d'un nombre d'individus bas en plus.
Cette espèce est donc par nature rare.

[Saturnin de la Poire]

c'est le 2ème plus commun des Ripiphoridae, ...
Cette espèce est donc par nature rare.

pour le "commun", dans un cas comme celui-ci, on est typiquement dans la définition de "fréquent" et pas de "commun". Encore une fois commun, c'est du spatial, pas de l'abondance.

Par ailleurs, les méridionaux (les vrais ) tendent à dire qu'Evanocerus est plus commun et localement plus fréquent que Ripiphorus.
La plus commune et plus fréquente étant bien entendu Metoecus.

Je suis en revanche complètement d'accord pour dire qu'en dehors de Metoecus, tous les membres français de la famille sont rares