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J'ai regardé du côté des xestia, des Eupsilia, mais j'ai toujours pas trouvé quelques chose qui correspondent bien.
J'avoue que l'énigme me donne tout autant de fil à retordre, je ne doute pas que cela me paraîtra plus claire lorsque j'aurais trouvé, mais pour l'instant je galère...
Migère m'a fait pensé à mégère, mais quand je vois à quoi ressemble la chenille de la mégère, c'est claire que je fais fausse route.
En attendant... la forme générale de la chenille me fait chercher du côté des nocutelles voire des mites, je persévère ...
Helicoverpa armigera ... une dure à cuire si l'on en croit le CIRAD :
L'aire de répartition d'Helicoverpa armigera couvre une vaste zone, comprise approximativement entre les 40es parallèles nord et sud, mais qui exclut le continent américain. En Afrique subsaharienne, H. armigera est pricipalement un des prédateurs des cultures cotonnière et maraîchères. Ses caractéristiques biologiques confèrent à H. armigera un statut de ravageur de premier plan sur de nombreuses cultures de par le monde :
- forte fécondité
- durée de cycle courte
- forte polyphagie (217 plantes hôtes sont recensées dans cette monographie!)
- diapause nymphale
- aptitudes migratoires des adultes.
Bien que de nombreux travaux aient permis de diversifier les techniques de lutte contre H. armigera, notamment par l'utilisaation des entomopathogèn,es , des entomophages et de la résistance variétale, la lutte chimique est restée une des clés de voûte de la protection contre cet insecte. depuis deux décennies, l'apparition de populations d'H. armigera résistantes à plusieurs familles d'insecticides dans diverses régions du monde a par conséquent considérablement renforcé la nuisibilité de ce ravageur.
